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CONFÉRENCE « Le petit guide de la Vie sur Terre! Un enseignement révolutionnaire » de

Jean Marie MULLER 08 - AVRIL - 2014

Biographie Jean Marie MULLER Conférencier international, médium, chamane et porteur d’enseignements reçus des guides spirituels, Jean-Marie Muller parcours le monde pour partager des enseignements essentiels pour sortir de la maladie, de l’hypnose collective et l’hypocrisie générale. Charismatique par sa présence, simple et authentique par le lien qu’il crée avec nous, il est néanmoins un conférencier qui peut parfois déranger, mais lorsque vous comprenez où il veut vous emmener, ses paroles vous imprégneront en profondeur. Jean-Marie n’est pas un médium et un chamane ordinaire ! Un brin provocateur, captivant avec un humour toujours décapant, Jean-Marie peut briser votre réalité ou vos croyances en un tour de mains. Comme un chirurgien avec son scalpel, il vous perse pour que vos certitudes n’en soient plus et vous ouvrira la voie vers une véritable libération. Il a la faculté de vous scanner en quelques secondes et vous emmène dans des lieux dont vous ignorez même l’existence. Son travail n’est pas des plus aisées car vous venez avec des attentes, des certitudes et au lieu de vous conforter dans qui vous croyez être, il vous montre que la réponse n’est pas là où vous le pensiez. Il est sans conteste un enseignant d’une nouvelle génération, qui ne s’encombre pas de formules prémâchées et qui ose remettre en question certains principes des courants de pensées actuels. Dans le travail qu’il propose, il y a juste l’espace pour être VRAI et pour enfin se redresser sans plus avoir peur de notre Lumière et de notre Puissance.

Résumé « Le petit guide de la Vie sur Terre! Un enseignement révolutionnaire » Comment devient-on vraiment conscient ? Pendant des décennies nous avons privilégié les divers domaines de la médecine holistique et les thérapies permettant d’améliorer notre santé, de redynamiser nos énergies et nos corps. Nous avons acquis des connaissances sur notre véritable nature et des mondes qui nous entourent! Ce qui en soit est déjà merveilleux. Pourtant en même temps nous avons totalement négligé une autre dimension essentielle de notre être, sans laquelle, il est impossible de vivre totalement dans la santé, l’harmonie, l’amour et surtout de devenir des êtres conscients et pacifiés ! Un enseignement révolutionnaire pour comprendre le chaînon manquant qui nous amènera vers la pleine conscience! Tous ce que nous vivons nous le créons, mais comment? Un enseignement unique en son genre qui permettra de nous redresser, d’oser à nouveau être et ne plus avoir peur de notre Lumière et de Notre puissance!

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CONFÉRENCE « Le petit guide de la Vie sur Terre! Un enseignement révolutionnaire » de

Jean Marie MULLER Merci Jean-Marie, d'avoir accepté ce petit reportage. Pour rentrer dans le vif du sujet, tu parles souvent d'un « chaînon manquant » comme partie de notre être essentiel. Peux-tu nous en dire plus?

On parle beaucoup de médecine holistique, de la médecine des trois corps, puis des quatre corps (on avait oublié les émotions!). Mais il existe encore une partie « autre », plus profonde, qui, elle a été mise de côté. Je pense que c'est parce que c'est celle qui fait le plus peur car elle nous oblige à aller au plus profond de notre être, pour apprendre à être vrai, à nous redresser, et ça, c'est très difficile!

Pour créer toutes nos réalités sur terre (on peut les appeler aussi « facettes », « côtés »...)on a des espèces de « véhicules de l'âme » qui vont servir à créer nos rencontres, notre réalité du quotidien dans tous les domaines de la vie. Une rencontre amoureuse, par exemple, n'est pas un simple hasard. C'est une de ces « parties »là, qui va créer cette rencontre. Le problème, c'est qu'on n'est pas conscient de ça, parce que ça nous fait peur. En effet, si on voyait la réalité qui est en-dessous, on tomberait un peu de haut! C'est ça qui manque. Je parle de « chaînon manquant » parce que je sens que c'est essentiel: on ne pourra pas vivre totalement dans la paix, dans l'amour, hors des jeux de pouvoir, dans l'abondance spirituelle et matérielle, sans er par la conscience de ces facettes. C'est un fonctionnement. J'ai appelé ça aussi « mécanique humaine ». On a besoin de ça pour devenir des êtres éveillés: c'est un peu comme si on se trouvait depuis un centre, notre âme, notre étincelle divine, et qu'on voyait la Totalité. C'est-à-dire les différentes facettes, les différents corps, les émotions qu'il y a. Alors bien sûr, ces facettes, elles sont aussi à l'origine de nos maladies, de nos catastrophes, des insuccès... Mais à un moment donné, c'est quand même important, voire essentiel, capital de se dire: « Maintenant, j'ai envie de savoir qui je suis vraiment. Comment je crée ma réalité. J'ai envie de comprendre. » Les gens me disent « Oui, mais toi tu vois tout comme ça, facilement ... » Mais en réalité, mes yeux de médium observent chez les gens, et très très clairement, que les gens voient tout! On est nu tout le temps!. Mais c'est tellement inable, qu'on n'est pas encore prêt à se voir surtout dans certaines facettes... Jean Marie MULLER

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Moi, par exemple, j'ai bourlingué pendant des années, j'ai fait un tas de choses, un tas de formations, je communiquais avec les guides et tout d'un coup, à 25 ou 26 ans, j'ai découvert que finalement, derrière mon côté zen et très contrôlé j'étais en somme une furie ambulante: en prédominance, j'avais envie de tuer tout le monde, je détestais tout le monde! Ce ne sont pas des choses qu'on a envie de voir. Pourtant, je bénis vraiment ce jour-là. C'était ce que je pressentais, je voyais. Et je me suis dit: « Tant qu'on n'est pas allé chercher ce qu'il y a là-dessous, on n'arrivera pas à s'en sortir! On deviendra peut-être de brillants médiums, de bons chamans, presque des magiciens, mais dangereux! »

Pour que nous comprenions bien, tu représentes toujours cela par une marguerite, dont chaque pétale représente une facette de notre être. Est-ce que tu peux donner d'autres exemples de facettes?

Nous sommes le miroir de chaque personne, et chaque personne est notre miroir, sans exception. Pour notre côté le plus beau, on pourrait penser à Jésus par exemple, et là, on se dit « WAOUH! ». Nous avons un côté qui est comme ça. Mais de l'autre côté, idem: le plus noir du noir, c'est nous aussi. Bien sûr, on peut en douter. Mais dans le travail que je fais, par exemple avec « la danse de l'ego conscient » on voit très clairement ces côtéslà de nous, et qu'on le veuille ou non. C'est un geste d'amour de pouvoir aller dedans.

Il y a 7milliards de facettes, et on ne va pas toutes les travailler! Certaines facettes sont secondaires. Celle qui fait la vaisselle...On ne va pas forcément faire un travail thérapeutique dessus: ce n'est pas une question de vie ou de mort! Par contre, il y en a d'autres qu'on a assez naturellement: le médium, le chaman, ce sont là des facettes très très importantes parce que naturellement on a besoin de ces côtés-là pour être connecté, pour pouvoir faire des choses « magiques » Prenons le médium. Beaucoup de gens pensent qu'il faut le travailler. C'est vrai. Mais moi, je pense que plus on va vers certaines facettes qui nous empêchent de nous voir réellement, plus le chemin est rapide et on s'ouvre totalement. Du coup, le médium va redevenir comme un enfant, plus naturel. Donc, on ne va pas se casser la tête, en créant des hiérarchies, avec des noms magnifiques simplement pour se démarquer des autres... On sera connecté. Et je pense qu'avec le temps, cela ira plus loin que d'être connecté: on va être tous ces êtres. L'enfant, il est tellement connecté jusqu'à trois ans, qu'il EST ses guides. Tout l'Univers peut se manifester au travers de nous, parce que c'est dans l'ordre des choses. Pas besoin d'avoir peur: on ne va pas perdre notre identité, ça va se faire tout seul.

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Et puis on a d'autres facettes, qui sont tout aussi utiles; et on en parle si peu! On pense au « Maître », à « l'Elève », au « Chaman », au « Medium », mais on oublie des facettes tout aussi importantes à mon avis, comme « l'Amant » par exemple. Celle-là a besoin de créer une vie de couple, de vivre sa sexualité, d'explorer, de pouvoir s'épanouir. On peut être un enseignant magnifique, mais il n'y a qu'à voir le nombre de thérapeutes ou de « maîtres spirituels » qui finissent quand même avec un cancer, un accident, ou dont le couple explose! Ça veut dire qu'il y a là un domaine où une partie n'est pas contente.

Il y a « l'Enfant intérieur ». On en parle beaucoup, mais est-ce qu'on va vraiment voir? Souvent, on dit « Ah, mon enfant intérieur, là, il n'est pas trop content. Mais bon, voilà, je te pardonne, et ça va comme ça. » Mais en réalité, si un enfant est en colère, la seule chose qu'il veut, c'est exprimer sa colère d'une manière libre, et sortir toute cette énergie de son corps. Et si on est dans l'Amour et la Comion, on dira « Je t'accepte tel que tu es, là, et je te laisse exprimer! »

Tu dis qu'il faut libérer ces personnages qui sont enfermés dans notre cave, mais si on les met tous à la surface, estce que dans ce monde stressant dans lequel nous vivons, nous n'allons pas perdre notre équilibre?

Tu poses la question parce que tu vois ça avec un esprit rationnel! L'esprit de la conscience,lui, peut englober tout ça sans se fatiguer. Mais ton mental, lui, il veut comprendre, contrôler: c'est trop vaste! Pour la conscience, c'est comme un tableau. Le mental ne voit qu'une partie, et il veut expliquer tout ce qui est à côté. J'aime bien l'image des grands chars romains: si on est empereur, par exemple, personnage tellement lumineux on a vingt chevaux devant soi, et on va apprendre à faire avec. Mais à faire juste. C'est-à-dire, quand je suis dans mon enfant je ne vais pas en faire des tartines en me disant: « Voilà, j'ai besoin de reconnaissance ... » Non, je vais la chercher d'une manière claire: je vais dire: « Aujourd'hui, je ne suis pas bien, je suis dans mon enfant, est-ce que tu veux bien me consoler un peu? Tu sais, les gens ne reconnaissent pas comme je suis brillant... » De cette manière, tu te positionnes correctement, et ça, ça dé-stresse! On est dans un monde où il faut sans cesse manipuler, d'une manière subtile parfois, pour obtenir des choses, ou un mot gentil. On se dit être spirituel, mais on n'est même pas capable de dire « Oh mon Dieu! J'ai été touché par toi, tellement tu es magnifique...! » Non, on parle de l'amour, mais on ne le vit pas. On a besoin de descendre et d'être juste. Parce que supposons que tu sois un chaman , et que tout-à coup, ton enfant gronde à l'intérieur. À un moment donné, cet enfant va prendre place, et ce n'est plus ton chaman qui est là. Alors, tu vas gesticuler, faire des trucs avec les encens, les Esprits, mais ton enfant est alors tellement fort, qu'il va te saboter dans l'énergie : ça fera deux parties de toi qui vont être malades:le chaman, qui n'est pas content, et l'enfant qui ne reçoit pas ce qu'il demande. C'est de l'éducation? avec ses parties à l'intérieur. Et ça me semble essentiel. Parce que sans ça, on n'arrive pas à être vraiment conscient. On est conscient en partie. Mais le dernier morceau qui reste, c'est le plus gros. C'est là qu'on va aller dans l'inconnu. On va commencer à aller

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dans ce qu'on nomme « être inspiré à chaque instant ». On va de plus en plus se laisser guider par notre âme et par l'Univers. En somme, c'est cela qu'on est venu faire sur terre. C'est une des missions que nous avons tous; c'est la même mission. Chacun a ses spécificités, mais la mission principale, c'est se libérer de l'ego, de le pacifier plutôt. La deuxième mission est de travailler sur ses facettes, et c'est ce qu'on essaye de faire depuis des millénaires! C'est un début de quelque chose de nouveau, où on va aller loin. Mais qui a déjà été abordé : on parlait de cela quand on évoquait « le lotus à mille pétales ». Même les plumes sur les coiffures des Indiens. Toutes ces plumes montraient ces aspects-là, mais comme si c'était quelque chose d'un peu théorique, alors qu'en réalité, c'est l'inverse: c'est quelque chose de très pratique. On peut les voir, les ressentir dans son corps. Certaines personnes les aperçoivent de manière très visuelle chez les gens. Chacun aura sa manière de les voir, mais je peux garantir ici que chacun va les voir et pourra les travailler. Après, avec le temps, on va inculquer ça à un enfant: comment être équilibré et obtenir ça. On n'aura plus besoin d'y penser. Naturellement, on attire la personne dont on a besoin. Et naturellement, je pourrai aller vers toi d'une manière beaucoup plus détendue en disant: « Tu sais, aujourd'hui, je me sens vraiment nuuuuul! Même si je suis « spirituel », eh bien j'oserai dire « Je me sens nul! »

Dans la conscience finalement...

Dans la conscience, il s'agit d'être vrai. Et être vrai, ça ne veut pas dire être gentil ou faire des prières. C'est être conscient de soi-même.

Concrètement, comment procèdes-tu pour travailler ces facettes? Quels outils utilises-tu ?

J'utilise ce qu'on appelle « la danse de l'ego conscient ». Je vais expliquer comment on travaille dans un groupe, pour que ce soit plus simple. Déjà, principe de base, on forme un cercle. Et je dis aux gens quand ils vont au milieu: « Regardez bien ce qui se produit en vous. À quoi cela vous fait-il penser? Quand vous êtes à l'intérieur, c'est votre centre. Vous allez vers votre centre, et les gens qui sont autour, sont des facettes de vous-même. » Le fait qu'on soit deux jours ensemble comme ça, on a le temps de s'apprivoiser; l'ego va lâcher un tout petit peu. On doit se sentir en sécurité, parce que montrer qu'on a un démon en soi, qui a envie de tuer tout le monde, ce n'est pas évident: il faut avoir confiance. Il faut aussi que moi, j'inspire confiance. Je dois aussi me montrer vrai. Si je suis dans l'hypocrisie, les gens n'en seront pas forcément conscients, mais ils le sentiront, et ils ne vont pas se libérer. Je dois dire honnêtement, si c'est le cas: « Ah, ce matin, je me suis mal réveillé...J'ai un mal de crâne! Pas envie de faire le cours... » Alors là, les gens vont se dire que je suis comme eux finalement, et ils se sentiront en confiance. Si je dis « Voilà, la lumière, c'est comme ça.. » et que simplement j'en parle sans le vivre, les gens ne vont pas pouvoir aller là-dedans. Ils se disent: « Attends, mais il fait la même chose que nous, donc il n'y a pas de raison que ça change. » Et l'ego qui est derrière les maintient. Jean Marie MULLER

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Une base de notre vie sur terre c'est nos émotions. Où en est-on? La plupart des gens, quand ils viennent -c'est assez étonnant, pourtant ils ont fait du chemin- ils ne savent même pas quelle émotion ils ressentent dans le présent. Si je leur demande ils répondent: ⁃

« Ah oui, ce matin, j'ai senti que j'étais un peu en souci à cause de mon travail...

⁃

Mais quelle émotion tu as, là? Viens montrer ces émotions!

En fait, quelles sont-elles ces émotions?

Il y a quatre émotions de base: la joie, la peur, la colère et la tristesse. Les trois dernières, sont typiques de notre monde. Quand on repart d'ici, on est dans la joie et la félicité. Il n'y a ni peur ni colère. C'est donc une expérience très terrestre, qu'on va vivre dans notre corps physique. Ces émotions ont d'abord besoin d'être fluides à l'intérieur du corps, et on a besoin de les vivre, mais d'une manière adaptée à ce monde. Il ne s'agit pas d'aller se défouler sur les gens parce que Jean-Marie a dit qu'il fallait exprimer sa colère! Non. Il faut pouvoir faire avec elle. Nos parents n'ont pas réussi à nous apprendre ça. On peut être en colère: si tu viens despotiquement vers moi, que tu prends mon espace en entrant dans ma bulle, j'ai le droit de dire « ça suffit ». Mais derrière, il n'y a idée ni de punition ni de soumission. C'est comme chez les animaux. Je ne vais pas t'en vouloir à vie, ou vouloir te soumettre, te dire « Maintenant je ne t'aime plus... » On a si bien appris toutes ces choses à l'école: « Si tu es gentil... »: « tais-toi! », « sois sage! », « ne nous montre rien et soumets-toi! »! Avec ça, tout marche bien dans notre société. Mais dès qu'on commence à être un peu perturbant pour les gens, ça ne marche plus.

Pour moi, c'est essentiel. Les gens ont peur de revivre ces émotions refoulées. J'en sais quelque chose, parce que jusqu'à 27-28 ans, j'étais effrayé: je savais très bien ce que j'allais découvrir dessous! Mais on a besoin d'être au clair à chaque instant de notre vie. Si je ne sens pas que ce matin je suis frustré, si je me fais croire que tout va bien, toute la journée, une facette va faire le programme qu'elle connait bien/ « Je vais montrer que je vais bien, pour essayer d'obtenir un peu de compliments, mais en réalité, je suis triste, j'ai même envie d'envoyer caquer ? tout le monde. » Du coup, on n'est pas vrai du tout, on est dans une comédie -j'appelle ça être politicien- et juste pour obtenir quelque chose, ne pas montrer aux autres cette facette déplaisante. Dans la médecine holistique, on ne parle que de trois corps, en oubliant le corps émotionnel. Ce qui montre bien qu'on a un gros gros problème avec!

C'est ça être un être « multidimensionnel »?!

Oui. On va vivre ses émotions. Si je ressens une grosse, grosse colère, je vais prendre un temps, dans la voiture, ou je vais dans la forêt, pour l'extérioriser. Certaines personnes disent que c'est mieux de visualiser. Mais ça va nous rendre plus malades encore! C'est le mental qui veut visualiser, parce que ça rassure l'ego.

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En réalité, observez la nature, les animaux, les Peuples naturels, les enfants avant 3-4 ans: aucun ne visualise pour vivre ses émotions! Ça peut choquer des gens. Une personne m'avait dit « On n'est pas comme eux! » On est quoi? On est plus « évolué »? C'est de l'orgueil. La réalité, c'est que nous avons besoin de les vivre. Moi aussi, j'éprouve de ces émotions où je me sens mal, j'ai envie de tout casser, mais je les vis mieux parce que je les sens au travers de moi; et à un moment donné, d'un coup, j'en ai ras-le-bol! C'est comme chez les enfants: tu es déprimé, tu as envie de mourir tellement rien ne va, eh bien tu le vis, et puis tu finis par t'ennuyer. Chez l'enfant, c'est très rapide. il est dans sa furie, et il pleure, et puis il s'ennuie, et d'un coup, c'est fini. Quand c'est fini, on a osé traverser ces couches. Et hop, on est de nouveau connecté à la lumière, on crée, on est de nouveau joyeux et la journée va bien. Quoi qu'on en dise, on era par là, parce que c'est notre apprentissage sur terre, d'oser vivre pleinement ses émotions, au travers de toutes nos facettes.

Finalement, on n'arrive pas à connecter les guides si on n'a pas lâché nos émotions.

Non, ce n'est pas qu'on ne les connecte pas: la connexion est différente. Si je suis conscient que j'ai des émotions, c'est mon contenu. Si je veux être en avec les guides, je vais vider mon corps, mes corps, des émotions toxiques, ainsi, je vais monter en vibration et redre le plan des guides. En faisant ça, je suis mieux connecté. D'ailleurs, les chamans qui sont restés fidèles aux origines, ils bougent, gesticulent pour vider leur mental et bien se connecter. En fait, qu'est-ce qu'on reçoit des guides? Certains ont tellement peur d'avoir des émotions, de ne pas être aimés, qu'ils vont recevoir un filet des guides. Du coup, ils vont recevoir des choses, oui, mais peu! Je vois pour moi: plus j'ose vivre ce que j'ai à vivre, plus les enseignements sont profonds, plus ça peut être bousculant; combien de fois j'ai été vraiment en colère parce qu'ils me montraient un endroit pas du tout équilibré! Avec toi par exemple: j'ai été despotique, tu t'en souviens? (rires!!) A ce moment-là, ce qui est merveilleux, c'est que les guides montrent. J'ai résisté sur le coup et puis « Va corriger ça! » et je suis venu vers toi parce que j'ai vu que c'était déséquilibré. C'est cela que font les guides: ils nous aident à équilibrer, à voir ce qu'on fait. Mais pour ça, il faut accepter d'être en colère, de tout-à-coup détester les guides, accepter de mettre son orgueil de côté pour revenir vers toi et te dire: « là, j'ai vraiment été despotique, je ne t'ai pas prise en considération dans ça... »c'est difficile pour l'ego. Je préfèrerais me dire qu'après tout, c'est moi l'enseignant, et que donc tout va bien. Mais pas du tout, je suis logé exactement à la même enseigne. Même si dans certaines facettes, j'ai beaucoup de conscience, ma communication avec les guides est de plus en plus profonde, ça ne m'empêche pas d'avoir mes propres casseroles, et mon propre travail que à faire. Attention, il n'est pas question de ne plus souffrir, d'être guéri. Ce n'est pas ça la guérison! La guérison, c'est la conscience. Donc, on est ouvert à chaque expérience qui vient. Elle peut être douloureuse quand on apprend quelque chose qui n'est pas drôle, mais il y a un côté magique, parce que c'est à l'infini!

Il faut mettre notre ego de côté. Est-ce que tu peux nous parler un peu plus de cet ego, de sa place dans ton image de la marguerite. Où se trouve l'ego? Où se trouve notre âme?Ton enseignement est plutôt atypique à ce sujet. Jean Marie MULLER

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C'est difficile à expliquer, parce que le dessin est à deux dimensions, alors qu'il y en a beaucoup plus. J'invite les auditeurs à visiter mon site, l'article sur l'ego, avec notamment une vidéo. La vision qu'on a de l'ego est floue: ce n'est pas ce qu'on croit. Les Guides m'ont enseigné une vision presque scientifique à son sujet. Imaginons que notre âme soit comme le soleil, et que les planètes et tous les astéroïdes qui, tournent autour, nos corps et nos facettes. Il y a quelque chose qui maintient tout cela ensemble, c'est la gravité. Notre être est sur le même modèle. Nous avons un centre, et une énergie, l'ego, qui est comme la force de gravité. Sur les autres plans, tout cela fonctionne bien car cette énergie est neutre. Mais sur terre, ça a mal tourné dès le départ, car à un moment donné, nous nous sommes coupés de cette divinité, de ce guide que nous appelons notre âme. Et nous nous sommes dit: « Nous sommes des créateurs. Nous allons chercher de l'aide. » Et avec cette énergie, nous avons créé comme une deuxième âme: l'ego. Et nous l'avons programmé pour nous protéger de la vie, des femmes, des hommes, des animaux et de toute la vie terrestre. Des milliers d'années sont ées, et nous voilà dans ce monde totalement dominé par l'ego, y compris à l'intérieur de nous. On ne pourra pas l'enlever. Et même quand nous allons sur d'autres plans, quand nous mourons, nous avons toujours de l'ego. Ce sera seulement loin après, quand nous serons réunifiés avec notre âme, que nous n'aurons plus notre ego. Notre but sur terre n'est pas de l'enlever, mais de le pacifier. De nous en libérer de plus en plus afin qu'il nous laisse vivre. Et surtout, qu'il nous laisse vivre avec nos facettes. Exemple: tu es une artiste, qui a envie de jouer du piano. L'ego va te dire « Mais non, ne joue pas de piano! ». C'est comme s'il rétractait ce champs d'énergie, pour que tu ne puisses pas jouer, car pour lui, c'est dangereux quelqu'un pourrait siffler dans la salle, ou alors, tu pourrais avoir trop de succès et ça fait peur. L'ego, contrairement à nous, possède la mémoire de toutes nos vies. Imagine que dans le é, tu aies été une pianiste brillante, mais que ça se soit mal terminé. Ton ego se souvient. Il va te dire: « Regarde comme ça s'est mal terminé! Comment ta vie de couple était détestable...Ne joue pas au piano! » Le problème, c'est que nous ne voyons pas cela. C'est inconscient. Nous allons nous dire: « Oh, finalement, j'ai é l'âge; et puis, finalement, ce n'est pas mon truc... » Mais c'est faux!

En réalité, on a donc donné les pleins pouvoirs à l'ego!

Pourquoi les Guides m'ont-ils donné une vision si précise? Le problème, c'est que le travail est vraiment pénible. Et l'ego voit bien que l'évolution fait que chaque être humain est en train de s'éveiller. Il veut stopper cette évolution. Donc même dans certains enseignements donnés actuellement, il y a de l'imprécision. On parle parfois de plusieurs ego. Moi, je dis: « Soyez au clair! Pourquoi tout-àcoup partager l'ego en plusieurs morceaux? Un ego spirituel, bas et haut etc. Toutes ces visions nous détournent du regard: l'ego a pour but qu'on ne travaille pas sur lui! Il devient comme une super facette qu'on aura besoin de pacifier.

Jean Marie MULLER

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Mais quand on n'est pas conscient de nos facettes, que se e-t-il? C'est notre ego qui va insuffler. Plus on est conscient, plus on travaille nos facettes, plus c'est notre âme qui va diriger notre vie. Quand elle est au-dessous, ou qu'on ne connaît même pas son existence,, c'est l'ego qui insuffle. La mauvaise nouvelle, c'est que nous sommes très très insufflés par lui: quand on dit « Oh non, ça, c'est pas trop mon truc! » eh bien souvent, justement, c'est notre truc. Mais on a peur de se remettre en question. Une de mes capacités les plus marquées, c'est que quand une personne parle, rien que dans ses gestes, sa manière de s'exprimer, je sens la note de l'ego. Elle a beau me dire des choses magnifiques, je sens l'ego. Parce que l'ego a une fréquence précise, tout-à-fait décelable.

Tu scannes la personne en quelques secondes en somme?

Oui. Si je parle avec une personne avec qui je suis bien, que j'aime bien, je ne vais pas lui en parler, ça n'a pas d'intérêt: ça fait partie de nos facettes « bancales » on va apprendre à vivre avec celle-là aussi! Les autres font tout autant peur: celles qui sont des « Maîtres », des « Magiciens », des « grands Prêtres », capables de guérir: celles-là, on ne veut pas les montrer non plus tellement elles nous font peur! Les gens ne vont pas tolérer cette brillance!

Être conscient... Toujours ce mot qui revient! Socrate disait -je crois que c'était Socrate- qu'une vie sans conscience ne vaut pas la peine d'être vécue. Qu'en penses-tu?

C'est clair. Mais on n'a pas à en parler. Il faut être conscient, tout court. En Occident, nous sommes des savants. On parle beaucoup, Mais on ne vit pas les choses; on ne va pas à l'intérieur. Être conscient, après, c'est quelque chose qui devient naturel. D'ailleurs, on n'a même plus besoin d'en parler! Au lieu de voir un bout de branche sur la toile, vous allez voir toute la toile, et de plus en plus loin.

Mais certains, qui ne sont pas conscients vivent presque mieux que d'autres qui sont en cheminement...

C'est une autre question. Il est vrai sur le chemin de la conscience, on se révèle à nous-mêmes. Forcément, il y a des moments difficiles.

Des fois, on préfère ronronner quitte à être malheureux!

Oui!

C'est vrai que quand je m'inscris à un de tes stages, j'ai la boule à l'estomac, je ne dors pas la nuit... C'est normal finalement! Que faudrait-il dire aux gens qui ont peur justement de venir se faire travailler par toi?

Moi aussi parfois, avant de partir le week-end, j'ai peur: c'est le signe de l'ego! Jean Marie MULLER

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Quand on le travaille, on fait apparaître des émotions, et c'est plutôt bon signe. Avec le temps, ça s'amenuise. Il faut oser déer ça. C'est un travail particulier. Je vais vraiment aller profond à l'intérieur des gens. Chacun va travailler des « gros trucs », et on a besoin de er par là. Et quand on a décidé de le faire, il faut y aller. On expérimente aussi de grands moments d'authenticité. Même quand ce sont des choses difficiles. Pour moi, le fait d'avoir peur, c'est normal. De se dire « Oh non, je n'y vais pas! » aussi: l'ego voudra dissuader d'y aller: il n'aime pas perdre des plumes!

Il faut se lancer à l'eau, c'est ça?

Voilà: il faut se lancer à l'eau. Mais dans la vie, c'est la même chose! Là, on vient juste s'entraîner à ce qui se e dans la vie! Dans la vie aussi on a envie de sauter dans l'eau. Prenons l'exemple d'une relation amoureuse. Voilà un an qu'on a été sans relation. Cela crée des émotions! L'ego va dire: « Mais tu es tellement bien tout seul! Tu n'as pas besoin de recommencer avec ça! » Quand on était enfant, on avait un peu peur aussi, mais d'une peur qui stimule. On se disait « Tiens, je vais le faire quand même! » Et c'est ça qu'on a besoin de retrouver! Sinon, on va s'enterrer. Les premières fois que j'ai fait des conférences, c'était terrible. Ma voiture tombait en panne, ou bien je me pinçais le doigt etc. Il m'arrivait de ces choses! Maintenant, à part quelques bricoles qui m'arrivent parfois, ça va de mieux en mieux. Parce que j'ai calmé ces facettes à l'intérieur de moi. Comme l'enfant, qui lui n'aspire pas à faire des conférences, mais qui préfère rester à la maison manger du poisson grillé ou manger des glaces, ou être à la plage...

Me voilà rassurée! Jean-Marie, tu as plusieurs casquettes: médium, chaman... Explique-nous quel est le dénominateur commun entre toutes ces casquettes. Et quand on vient à différentes formations, est-ce qu'on travaille d'une manière différente?

Oui. Dans le chamanisme -je parle du chamanisme sauvage, axé sur le « savoir être »- je ne vais pas t 'enseigner des gestes à apprendre par coeur, mais à te redresser pour oser être dans ta puissance. Le but, c'est que toi-même tu deviennes de plus en plus un canal avec tes guides et ton âme, pour pouvoir créer des rituels, ou opérer des grandes guérisons. Car ce sont des capacités que nous avons tous. Mais souvent, on en reste à la première couche. Si tu apprends à reproduire ce que je fais, à un moment ce sera gênant parce que ça ne te correspond pas. Nous avons chacun une manière de faire bien spécifique. Ton Chaman a des couleurs qui lui sont propres. Moi, je vais plutôt te donner la main pour le découvrir et oser être dans cette puissance: tu as accès comme moi à ton guide et à ton âme. Idem dans la médiumnité. Souvent, nous sommes des spécialistes d'un enseignement précis. Nous sommes fermés à ce qui vient d'ailleurs et prétendons être de la bonne école. Et nous sommes à nouveau dans la même structure. Moi, je dis « Vous êtes naturellement médium. Qu'est-ce qui empêche de voir? » Et là, on va travailler sur les facettes qui vont vous permettre de voir par vous-mêmes. Je donne souvent l'image d'une voiture recouverte de boue. Alors, tu peux copier les exercices, et les faire derrière le pare-brise. Tu veux communiquer avec les guides. Mais les résultats sont moyens et une majorité de personnes n'y arrivent pas.

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C'est l'inverse qui devrait se produire. Pourquoi ne pas nettoyer le pare-brise, et voir par tes yeux, avec ta propre manière de voir. On verra apparaître alors – comme ça se produit dans mes cours – dix médium très différents! Qu'est-ce que vous allez faire si tout-à-coup vous avez besoin de prendre un bâton et de faire comme ça (?) Si aucune école ne l'enseigne, vous allez être paniqué et dire « moi, je ne vois rien là! ». Moi, je vais te dire: « écoute, prends ce bâton, essaye ! » et ce qui est fou c'est que les gens y parviennent bien!

Tu nous apprends à être autonomes finalement, à ne pas suivre une marche bien précise.

Exactement et fondamentalement, je veux dire aux gens qu'il y a des choses dans le chamanisme comme dans la médiumnité, qui sont accessibles très vite. Beaucoup plus vite qu'on le croit. Le travail sur les facettes et sur l'ego, ça, c'est toute notre vie. D'ailleurs, à un moment, on n'appelle plus ça « travail », on appelle ça « vie », « vivre en conscience ».

Effectivement, tu nous apprends à nous redresser, à être flamboyants, sûrs de nous. Mais, à force d'être dans ce rythme, est-ce qu'on ne risque pas de devenir des êtres arrogants?

Pas du tout: c'est même l'inverse qui se produit. On va oser s'affirmer: il n'y a pas de honte à montrer qu'on est brillant quand on est beau, flamboyant. Ce n'est pas de l'orgueil! Il y a quelqu'un, 2000 ans en arrière, qui a été parfait là-dedans! Quand même, il s'est déclaré « fils de Dieu », « roi des rois ». Et ça ne veut pas dire que les autres ne le sont pas eux aussi. Le contraire est vrai aussi: le jour où tu es mal, où rien ne va, où tu souhaiterais ne plus être dans ce monde, tu l'affirmes aussi. Donc, dans les deux cas, tu deviens vrai. Et on va arrêter de manipuler la Terre entière pour recevoir des compliments et de la reconnaissance. Cependant, même quand on est médium, on a besoin de reconnaissance. Mais pourquoi ne pas le montrer en direct, honnêtement? On a le droit de recevoir un compliment! Est-ce qu'on ne peut pas dire à l'autre, simplement: « Mon Dieu, quel maître magnifique tu es! Ce que tu as enseigné aujourd'hui, ça m'a ému!!! » Est-ce si horrible? Bien sûr, il y a des moments où on peut être orgueilleux. Mais c'est un travail à faire sur soi alors, un ajustement. Plutôt que d'être faussement humble et modeste (ce qui est une forme bien pire d'orgueil et de manipulation!). On tombe malade de ça! D'ailleurs, il n'existe aucun peuple qui vive de cette manière. Les gens des Peuples naturels sont des gens fiers. Il ne possèdent rien, aucun bien matériel, mais ils se tiennent là... On dirait des rois. Est-ce qu'un vrai chaman doit dire qu'il est chaman? Il ne faut pas se tromper. Dans certains endroits dans le monde, les chamans ne disent pas qu'ils le sont, mais c'est normal: ils vivent dans des tribus où depuis des générations, on sait très bien qui le sera. Mais dans d'autres tribus, c'est l'inverse. Le chaman va dire: « Moi, je suis le chaman tel ou tel! » Il va oser se manifester, montrer qui il est, et ça ne pose pas de problème; ça ne veut pas dire qu'il est orgueilleux.

J'enseigne la médiumnité et le chamanisme, parce que c'est important à mes yeux. On a besoin de ces parties-là de nous-même, qu'on soit banquier ou boulanger: ça nous permet de vivre mieux, et de faire ce qu'on a à faire dans la Jean Marie MULLER

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matière tout en étant connecté à toute cette aide. Tout l'Univers est là pour nous aider. Ce n'est pas rien! Utilisons tout ça.

Jean-Marie, merci beaucoup! Maintenant, j'ai envie de recevoir un petit mot comme tu nous l'enseignes, du style « Oh, comme tu as été for-midable! »...

Mais ouiii! Tu as été MAGNIFIQUE, une belle journaliste. J'adore comment tu fais ça, et je te remercie du fond du coeur, d'avoir accepté de er ces moments ensemble, et de me permettre de lancer cette invitation! J'aime beaucoup ce mot d' « invitation ». Il s'agit de donner aux gens l'envie de se redresser. Si je leur dis que pendant 30 ans de cheminement, ils ne seront pas grand chose, et que éventuellement au bout de ces 30 ans ils seront peut-être une petite parcelle de quelque chose... Ce n'est pas motivant! Moi, j'invite les gens à monter sur scène. A dire « OK, moi, je suis bon là-dedans. J'ai envie d'être ce guérisseur, mais je suis un autre guérisseur que celui-ci, celui-là et celui-là. » Et tant mieux si chacun est différent. On va se donner la main pour que les gens osent et voient que vraiment on a cette capacité de faire de la magie. Je le vérifie de plus en plus souvent dans mes formations. Et je suis moi-même étonné de voir des personnes me déer, dans des domaines précis. Mon ego a eu de la peine, mais en réalité, je suis vraiment heureux de constater qu'il ne faut pas des mois et des années pour ces transformations. Que parfois cela se fait en quelques week-end.

Mon message, c'est vraiment OSER. Oser être vrai, être dans cette lumière, dans cette puissance. Ne pas avoir peur. Laisser de côté le « qu 'en dira-t-on » qui ne sont que palabres de l'ego pour nous empêcher de grandir. Sentez-vous BEAUX, MAGNIFIQUES. C'est ce qui nous fera sortir de tous les marasmes.

Merci Jean-Marie!

Merci Pascale!

Jean Marie MULLER

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